Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
La même chose autrement.
29 juin 2010

29 juin. Pré-post-bac.

Il parait que la tristesse est mortelle.

Il parait qu'il faut oser aimer.
Il parait que la vie s'enclenche sans crier gare, et que notre wagon perdu s'accroche au train des autres, ceux qu'on appelle "amis" ; mais qui deviennent de ta famille comme ta famille ne t'as jamais montré l'amour. Tu n'as ouï que des contes. Contes à rebours. Tu n'as pas le temps d'aimer tout le monde, parce que tu est jeune et désinvolte. Tes choix sont stupides. Et tu es moche de surcroit. Alors tu te masturbes le cerveau avec des fausses lettres d'amour. Ton imagination te fantasme l'Amour.
Il faut agir. Vite.

Vous savez, je suis morte, quelquefois.
Claquez-moi dans vos doigts, je sens mon âme disparaître.
Vidée de toute matière, je pourrais à nouveau susurrer des berlingots dans tes oreilles.
" Je suis ta merveille et tu me prend dans tes bras. "
Ne sois pas sexy. Non vraiment, c'est inutile. Soit désinvolte, comme toujours. Demeure à jamais mon amour. Comme à Hiroshima. L'oubli fait la douleur. La manière dont on oublie décide de la douleur.

Il faut que tu saches. J'aimais ton sourire comme jamais un sourire je n'ai.

Publicité
Publicité
Commentaires
La même chose autrement.
  • Transition entre jeunesse et âge adulte. 18 ans. Tot pour écrire ses mémoires, alors on peut appeler ça carnet de bord. Approche de la vie. Danse dans une quête. Marche ou crève. Les pieds dans les nuages. Ta vie c'est un carnage.
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Publicité